Et oui, je fais aussi des poèmes, et j'écris des textes ... en voici quelques-uns :
Ma vie se résume
En un grand poème
Il ne faut qu'elle se consume
En ces jours de bohème
Ça m'arrive quelque fois
De raconter des trucs comme ça
Qui n'ont parfois pas de sens
Mais qui pour moi sont une chance
Je me retrouve ici
Dans mes quelques lignes
A la merci de mon imagination
Qui me donne parfois raison
Je pourrais décrire
Tous mes rires et sourires
Puis mes tristesses
Avec maladresse
Je ferais pas exprès
D'être malheureuse
Et si ça m'arivve
D'être heureuse
Le temps seul peut décider
D'ainsi se retourner
Contre ma volonté
D'écrire sans m'arrêter
D'écrire ces quelques lignes
Malgré tout, enfantines
Mais ça j'y peux rien
Je ne me contrôle pas
Et même si je le voulais bien
Je ne me forçerais pas
Car mon destin est ainsi
Et ainse est la vie
Donc à présent, j'écris
Quelques poèmes sur la vie
Ils me donnent la force de continuer
Sans jamais maugréer.
( le 19-10-03 )
La tête dans les nuages
On ne voit que des mirages
On s'imagine un monde merveilleux
Où tout le monde se sent heureux
Mais quand on redescend sur terre
On s'aperçoit qu'on rêvait bien
Et qu'on était juste dans les airs
Et que ce monde est bien le sien
On se sent alors tout triste
Il faut accepter la réalité
Et rester comme ça à jamais
Dans ce monde où tout est triste
On aimerait se rendormir
Pour pouvoir encore rêver
Ou bien finalement mourir
Dans le but de tout oublier
Et s'endormir à jamais
Danc ce monde qu'on a rêvé
Un monde où l'on peut s'installer
Et pouvoir tout recommencer
Sa vie, ses envies.
Son amour, pour toujours.
(le 2-02-04)
En ce moment
Voilà comment je suis
Cela ne se comprend
Que par un poème comme celui-ci
C'est comme quand le soleil
Descend par mille feux
Sur la mère en colère
Mais malgré tout très fière
Pour que les gens heureux
Puissent s'endormir dans un doux sommeil
Un sommeil plein de rêves
Qui sont en pleine trêve
Face aux horribles cauchemars
Qui veulent que l'on s'égard
Dans leurs histoires sans sens
Mais avec de la chance
On arrive à s'en tirer
Et toujours continuer à rêver.
Je me sens aussi
Comme un enfant joyeux
Qui aurait trouvé, enfouit
De l'argent assez vieux
Dans le fond de ses habits
Mais il est quand même heureux
Et assez fier de lui
Car il pourra faire des envieux
En se promettant une jolie vie,
Une vie pleine de surprise
Qu'il pourra mener à sa guise
Mais en faisant attention
A sa trop grande imagination
Qui lui jouera bien des tours
Et même s'il effectue des détours
Il l'a retrouvera un jour
Et il sera trop faible pour,
Combattre la folie
Qui en lui ne cess'ra de grandir
Et envahira sa vie,
Avant même qu'il ai pu sourire
Car cet enfant si innocent
A voulu mener sa vie
Comme il voulait et pas autrement
Mais ça lui a coûté sa vie.
Je me sens encore
Comme un mère qui rie
Car en plusieurs efforts
Elle a donné la vie
A un être si petit
Qui tout en découvrant sa vie
S'apercevra que ce sera un Paradis.
Nous enfants de la terre
Nous ne voulons pas la guerre
Mais simplement laisser un Paradis
Après nous, très joli
Pour que notre descendance
Puisse avoir de la chance
Et pouvoir rigoler
Tout en ayant la paix.
Mes pensées sont aussi
Comme un bout de Paradis
Qu'on aurait voulu cultiver
Pour avoir un peu la paix
Et s'enfuir dans un monde
Où personne ne serait immonde
Avec un faible ou un petit
Qui sont pourtant bien plus gentils
Que les forts et les grands
Qui sont beaucoup plus énervants.
Nous, enfants de cette génération
Avec un peu d'imagination
Nous aimerions un univers
Où on règnerait, hauts et fiers
Sur nos parents et sur les grands
Qui devront c'est évident
Se laisser faire et puis se taire
Pour un moment très très petit
Juste le temps de p'tites folies
Qui pourraient traverser
Nos esprits très dissipés
A cette amusante idée
De régner sur les adultes indignés.
Mais maintenant mon délire
Qui doit en faire sourire,
A ces quelques-uns de ma race
Qui quelques fois m'agacent
Mais la plupart du temps
Me font rêver pendant longtemps
A tout ce que j'ai dit
Dans ce poème si virtuel
Mais j'ai dit toutes mes envies
Qui m'ont données de jolies ailes
Qui permettront de m'envoler
Et continuer de rêver
A mes idées si insensées
Mais pourtant sont bien vraies
Qui dans mon esprit sont nées
Et ne ressortiront plus jamais.
(le 12-11-03 )
Ça chatouille une larme
Sur une joue en flamme
Il s'en passe des drames
Mais faut rester calme
Respirer un bon coup
Puis s'essuyer la joue
Et pi rire un autre coup
Jusqu'à n'en plus pouvoir du tout
Aimer la fin du monde
Avec ses chagrins immondes
Qui montent aux cieux
Pour que les gens heureux
Puissent recevoir un coup d'vieux
Et pouvoir se haïr un peu
Il n'y aurait pas de vie
Dans ce monde sans merci
Sauf un petit génie
Qui se marrerait sans un cri
Un p'tit cri tout mimi
Ne peut pas faire de mal
A une joue qui ne rie
Mais qui devient flamme
A chaque passage de larmes
Une fois de plus faut rester calme
Et laisser les idées
M'envahir à nouveaux
Et ne plus repenser
A tous mes mots idiots
Qui sans arrêtes me font penser
A toi, en me faisant pleurer
Si honteusement
Mais tendrement
Je n'peux pas faire autrement
Que m'écouter pleurer encore
Puisque mes idées si morbides
Me donnent un de ces mal de bide
Je crois qu'il faut que je m'arrête
De penser à toi pour la vie
Car jamais, c'est clair et net
Tu ne réapparaîtras ici.
( le 20-10-03 )
Je repense à toi
Dans un moment comme celui-là
Je ne sais pas pourquoi
Mais mes pensées vont vers toi
Tu es tel un ouragan
Se précipitant dans ma tête
Et qui tourne violemment
En me faisant la fête
Beaucoup de gens doivent avoir marre
Que je dise des choses à ton égard
Mais je ne fais pas exprès
De t'embêter sans arrêt
Tu es dans mon idée
Principale et originale
Qui tourne sans s'arrêter
A l'intérieur de mon crâne
J'ai envie de pleurer
Mais je pourrais pas m'arrêter
Car je pense que mes yeux
Sont toujours amoureux
De toi évidemment
Qui fut dans mon cur si longtemps
Et qui restera gravé
En moi une éternité
Mais pourquoi m'as-tu jugé
En seulement un été
Ce qui fut peut-être court
Pour y connaître l'amour
Je n'vais pas pleurer
Toutes façons ça n'fera pas revenir
Celui qui pendant des années
M'a aimé avec le sourire
Moi aussi j'étais contente
De te retrouver pendant l'enfance
Qui m'a mis en attente
Pour une terrible déchirance
On s'est aimé près de la mer
Et même à s'en rouler par terre
Jusque dans l'eau
On était beau
Et toi tu me trouvais belle
Mais maintenant est-ce pareil ?
Je ne sais point
Si je vais bien
En ces moments
De grande ignorance
Qui tout en étant content
Me fait penser à notre avance
Que l'on avait
Pour notre jeune âge
De s'aimer
Sous un ciel d'orage
Et qui pendant plusieurs années
Me berceront dans les nuages
Ces moments d'intenses émotions
On a même pas fait attention
A nos problèmes de voisinages
Qui ont été
Au début, une chance
Mais maintenant tu n'es
Pour moi qu'une ignorance
Mais j'espère que sa passera
Car je t'aime toujours pour toi
Et te déteste pour le même cas
Mais sois sur, on se reverra
Au paradis si j'suis plus là
Car pour l'moment je veux partir
Et enfin pouvoir mourir
Sans voir les années à venir
Pour le meilleur et pour le pire.
( le 20-10-03 )
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